En s’attaquant au thème de la réalité, Camilla Läckberg prend le risque de tomber dans le superficiel. Malheureusement en demi-teinte, L’Oiseau de mauvais augure propose des personnages peu attachants.
On passe un bon moment, ne nous y trompons pas, mais ce quatrième volet reste cependant un peu moins entraînant que les précédents.
L’Oiseau de mauvais augure, un meurtrier dans le panier de crabes !
